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    Douchapt, joli petit village près de Ribérac. (1)

     

    Notre promenade, ce jour, nous conduit tout à côté de Ribérac, à Douchapt. Ce nom, issu du patois local signifie « deux chats ».

     Nous avions lu que cette commune proposait un circuit permettant de découvrir 12 fontaines et lavoirs, disséminés un peu partout. Nous avons décidé de découvrir quelques spécimens.

     Nous avons garé le monospace  sur un parking jouxtant une jolie chapelle dédiée à la Vierge. Elle était fermée, bien sûr.  

     

    Douchapt, joli petit village près de Ribérac. (1)

     

    Nous apprendrons par la suite, qu’elle a été érigée au 17ème siècle sur un lieu où la Vierge est apparue par deux fois à un paysan. Cette chapelle, tombant en ruine, elle a été détruite en 1892 et un nouvel édifice a été construit par l’architecte Lacaton.

     De forme rectangulaire, elle offre une façade composée d’une porte coiffée d’un tympan ajouré sur lequel est inscrit « Notre Dame de la Pitié ». Au dessus, se trouve une niche abritant une Pieta.  

    Elle est vraiment très jolie.

     

     Nous avons entamé ensuite le parcours de ces fontaines. Toutes ont, à côté, un panneau explicatif des traditions, les concernant.

     Dans un écrin de verdure, voici la fontaine des Burelles.

     

    Douchapt, joli petit village près de Ribérac. (1)

     

    Autrefois, les femmes du pays qui manquaient de lait pour allaiter leur nourrisson avaient coutume de déposer un fromage sur la margelle de la fontaine. Pour obtenir le résultat attendu, la jeune mère devait auparavant se frotter les seins avec ledit fromage.

    Les hommes qui pratiquaient le même rite que leurs épouses voyaient leur poitrine gonfler et devaient alors utiliser des rites expiatoires, pour résorber l’accident !!!!!

     

     

     

     

    Douchapt, joli petit village près de Ribérac. (1)


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  • Le bourg d’Ajat (2)

     

    Nous poursuivons aujourd’hui, la visite commencée en début de semaine, à Ajat, joli village  du Périgord.

     

    Nous étions admiratifs avec Pierre, du travail de restauration entrepris sur  la façade de l’église, nous ne bougions pas beaucoup, mais la chocolat’team s’est chargée de nous rappeler que c’était l’heure de la promenade.

     

    Le bourg d’Ajat (2)

     

    Nous  nous sommes dirigés alors vers la Mairie et avons vu une affiche  invitant à se rendre à une exposition consacrée à Suzanne Lacore. Cette militante socialiste née en Corrèze est arrivée à Ajat à 6 ans. Elle y est devenue institutrice puis directrice de l’école primaire. Plus tard, elle a été sous-secrétaire d’état à la protection de l’enfance sous le 1er gouvernement de Léon Blum en 1936.

     

    Le bourg d’Ajat (2)

     

    Nous avons ensuite passé devant l’auberge du village. C’est peut-être ici que Suzanne Lacore instruisait par  le passé nos chères têtes blondes. Ce restaurant a été ouvert dans les locaux de l’ancienne école.

     

    Le bourg d’Ajat (2)

     

    J’ai bien fait de prendre cette petite côte abrupte, je suis tombée ainsi sur ce joli puits !

     

    Le bourg d’Ajat (2)

     

    Tout au bas du village, nous avons remarqué cette petite chapelle (fermée bien sûr !)

     

    Le bourg d’Ajat (2)

     

    J’ai recherché par la suite, il s’agit de Notre Dame de la Pitié. C'est un cadeau offert par un marin périgourdin à la commune, ce dernier avait fait le vœu, lors d’une tempête, de  construite un édifice à la gloire de la Vierge Marie, s’il sen sortait. Il a tenu parole !

     

    Mais vu le temps, toujours pas âme qui vive dans le bourg, ah si quelqu’un avance au loin…..

    Et non, pas pour nous !!! Madame l’oie avait juste besoin de se désaltérer !!!

     

    Le bourg d’Ajat (2)

    Le bourg d’Ajat (2)


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    Découverte d’Ajat – son église.

     

    Nous étions en balade ce dimanche maussade d’août, entre Périgueux et Brive, sans but précis, juste pour nous promener dans la campagne toujours quand même à l’affût de villages pittoresques.

     

    Le monospace nous a conduits à Ajat. Ce joli bourg, accroché à flanc de colline, nous a séduits dès notre arrivée. L’ensemble église château visible de loin, est remarquable. Le cliché ne rend pas bien la beauté du paysage, le beau temps de ces derniers jours n’était pas présent, hélas.

     

    Découverte d’Ajat – son église.

     

    De suite, nous sommes allés tout en haut voir l’église St Martin, une des plus belles églises romanes du Périgord. Elle touche le château, que nous n’avons pas vu, caché par de hauts murs. Elle date du 12ème siècle et a été occupée par les Templiers. Son clocher-mur à 4 ouvertures est imposant (25 mètres). Le dallage de l’église recouvre de nombreuses tombes, notamment, celle de François de Hautefort.

     

    Elle est en réfection au niveau de sa charpente et de sa couverture en lauze.  Les façades extérieures et intérieures de la nef ont été rejointées, et un enduit a été déposé sur le cul de four de l’abside.

     

    Elle était ouverte, nous avons donc pu voir son intérieur et nous avons été agréablement surpris par ses nouveaux  vitraux très contemporains réalisés par le Père Kim en Joong. Très colorés, modernes, ils s’intègrent très bien à l’ensemble.

     

    Découverte d’Ajat – son église.

    Découverte d’Ajat – son église.

    Découverte d’Ajat – son église.

    Découverte d’Ajat – son église.

    Découverte d’Ajat – son église.

     

    Avec la Chocolat’team, nous sommes partis à pied dans les ruelles d’Ajat. Nous verrons tout cela dans le prochain épisode .

     

     

    Découverte d’Ajat – son église.


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    Marché des producteurs de Nonac.

     

    Depuis plusieurs années ce type de  marchés se développe en Charente. Nous avons pris l’habitude de nous rendre à quelques-uns. Vous ne suivrez donc pas sur cet article la Chocolat’team. Elles n’ont pas leur place dans ce genre de manifestation, il y a trop de foule. Elles sont mieux à la maison et font juste ici une apparition.

     

    Marché des producteurs de Nonac.

     

    A Nonac, ce marché des Producteurs a lieu en soirée. On y trouve toute sorte de produits locaux, On peut y faire ses courses. J’ai trouvé que c’était plus sympa, que le supermarché. On peut discuter avec les agriculteurs du « canton », ils sont de bons conseils, par exemple vous aident à choisir un bon melon charentais, vous expliquent la cuisine de nos fameuses « cagouilles », les différentes sortes de pineau etc.

     

    Nous sommes arrivés vers 19 h, et comme il est possible de déguster les produits sur place, nous avions emmené nos couverts,  une bouteille de rosé dans la glacière, au cas où…. Ce n’était pas utile, il y avait également des viticulteurs présents. 

     

    Nous avions prévu d’y retrouver des amis. Sous d’immenses tivolis, de grandes tables avaient été installées pour ces convives d’un soir. Chacun pouvait s’installer et manger les produits locaux achetés. Nous avons fait un « pot commun » où tout le monde a pu goûter plusieurs produits, Notre copine par exemple avait acheté une grosse pièce de bœuf, elle l’a faite griller sur les grands barbecues mis à disposition du public. (C’était un délice !).

     

    Marché des producteurs de Nonac.

    Marché des producteurs de Nonac.

     

    Le temps était très beau, chaud même tard le soir. Nous avons vraiment apprécié ce dîner, où tous les participants échangent sans se connaître volontiers, c’est vraiment sympa et très convivial.

     

    Vers 22h30, les repas se sont  terminés, les tables se sont  vidées les unes après les autres.

     

    Marché des producteurs de Nonac.

     

    Nous avons fait un dernier tour des commerçants encore présents. Pierre s’est arrêté une nouvelle fois, au marchand de « cagouilles », pour le complimenter, elles étaient, il faut le dire délicieuses. Il préparait déjà une autre fournée, pour son marché du lendemain matin.

     

    Marché des producteurs de Nonac.

     

    Le volailler avait tout vendu ce qu’il avait en rôtisserie, il ne lui restait que 3 poulets. Les vendeurs ont commencé à ranger, la soirée se terminait.

     

    Marché des producteurs de Nonac.

     

    Quelques gourmands achetaient encore des glaces.

     

    Marché des producteurs de Nonac.

     

    La nuit étant bien présente nous sommes repartis vers la maison, mais promis Nonac, on reviendra l’an prochain !!!! C’était super !!!

     

     

    Marché des producteurs de Nonac.

     


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    Le jardin médiéval de Dignac.

     

    Salut les amis ! c’est Cadix aux commandes. Nous ne travaillons pas aujourd’hui, c’est balade qu’ils ont dit.

     

    La Pestouille a compris le truc. Dès que notre maître sort les colliers, faut qu’elle soit la première, Moi, j’men fous, je sais que mon tour viendra, alors, j’attends…..

     

    Le jardin médiéval de Dignac.

     

    Vous voyez….. Ca sert à rien de se dépêcher….

     

    Le jardin médiéval de Dignac.

     

    Aujourd’hui, nous partons tout à côté de chez nous à Dignac. Il s’y passe chaque année une fête médiévale qui a beaucoup de succès dans notre région. Et, depuis 2000, des bénévoles ont créé un jardin qui reproduit tout ce qui se cultivait au Moyen-Age.

     

    Nous y voilà !

     

    Le jardin médiéval de Dignac.

     

    8 parterres entourent une fontaine. Ils sont surélevés et entourés de plessis de châtaigniers.On y trouve le potager, et toutes sortes de plantes (environ 160) ainsi qu’un petit verger

     

    Le jardin médiéval de Dignac.

    Le jardin médiéval de Dignac.

    Le jardin médiéval de Dignac.

     

    Chaque plante est étiquetée avec son nom latin, son nom français, il est indiqué également ses vertus.

     

    Le jardin médiéval de Dignac.

     

    Après avoir fait le tour de ce petit jardin, avant de regagner le monospace, nous  les  nanas  on a pris la pose devant la fontaine.

     

    Le jardin médiéval de Dignac.


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