•  

     

    Atelier novembre Barbezieux.

     

     

    Je vous parle souvent de nos interventions mensuelles effectuées à l’hôpital de Barbezieux à l’accueil de jour Alzheimer tous les 4 ou bien les visites que je fais avec Cadix et maintenant parfois H’Alhambra dans les chambres des 6 services de la maison de retraite et de l’unité long séjour.

    La psychomotricienne de cette structure nous a contactés pour que nous construisions ensemble un programme trimestriel basé sur un petit parcours de marche réalisé avec les chiens, du brossage, et sur un travail de la gestuelle. Le but de nos toutounes étant d’inciter le malade à sortir de son isolement, agir, bouger un peu.

    C’est surtout H’Alhambra qui a participé avec son maître. Nous avec Cadix ne sommes pas restées inactives, nous avons fait un ou deux parcours seulement, mais Cadix s’est faite caressée. Dans cet hôpital, elle est très connue, les gens se souviennent d’elle, depuis le temps qu’elle y intervient. (7 ans). Je rencontre les résidents en chambre très régulièrement, nous discutons souvent à 3, le résident, l’animatrice et moi. Nous voici ici lancés, pour un parcours chariot. Bon ! Ca a pas trop mal marché !

     

    Atelier novembre Barbezieux.

     

    Voici H’Alhambra en double laisse, remarquez comme elle est attentionnée. Elle a son bandana elle sait qu’elle travaille, qu’elle doit être attentive. 

     

    Atelier novembre Barbezieux.

    Atelier novembre Barbezieux.

    Atelier novembre Barbezieux. 

     

    Plus compliqué pour le patient : se baisser et passer sous la barre, pff… Avec H’Alhambra tout est facile…

     

    Atelier novembre Barbezieux.

     

    L’équipe des messieurs a flashé sur H’Alhambra, notre discrète Pestouille ! Il faut dire qu’elle a fait de beaux rapports de canards et de mouettes ! ça fait remonter les souvenirs de chasse ! 

     

    Atelier novembre Barbezieux.

     

     

    Atelier novembre Barbezieux.

     


    25 commentaires
  •  

     

    Maison du pain d’épice à Gertwiller.

     

     

    Durant nos vacances alsaciennes, nous avons découvert un endroit charmant : la maison du pain d’épices. Ce joli magasin interpelle déjà par ses façades. Elles sont décorées de pain d’épices et de différents personnages contenus dans les livres de contes populaires d’enfants tels que Hansel et Gretel.

    Je dois vous préciser que le pain d’épices, moi j’adore…. Mais là dur de faire un choix je ne pouvais cependant pas acheter tout le magasin !

     

    Maison du pain d’épice à Gertwiller.

    Maison du pain d’épice à Gertwiller.

    Maison du pain d’épice à Gertwiller.

     

    La vendeuse nous a gentiment conseillé d’aller jusqu’au laboratoire pour assister à la fabrication et aussi pour déguster !! Nous pourrions ainsi choisir plus facilement. Dans cette structure employant une dizaine de personnes, il est proposé des produits de qualité.

    Pour le fabriquer, il faut préparer une pâte mère composée de farine, sucre, miel et d’un peu d’épices. Ensuite, on la laisse reposer 3 à 6 mois. De la pâte fraîche est incorporée lors du pétrissage. Puis, la pâte est abaissée à l’aide d’un laminoir, mise dans des moules et cuite. Le pain d’épices est alors fait, il ne reste plus qu’à le décorer de sucre glace et le laisser refroidir. 

    Lors de notre visite, nous avons vu les ouvriers détacher les pièces de pain d’épices réalisées ce jour, cuites et refroidies.

     

    Maison du pain d’épice à Gertwiller.

    Maison du pain d’épice à Gertwiller.

     

    Nous avons ensuite dégusté plusieurs variétés toutes aussi délicieuses les unes que les autres. Un bon moment de douceur ! C’est avec grand plaisir que nous sommes repassés par le magasin pour emmener quelques pièces en Charente.

     

     

    Maison du pain d’épice à Gertwiller.

     


    25 commentaires
  •  

    Un p’tit coin de paradis en Haute-Saône.

     

     

    Lors de notre séjour en Alsace, nous sommes passés par la Haute-Saône pour rendre visite à l' une de mes copines de l’association d’un Cœur à l’autre.

    Elle vit un peu en dehors d’un petit village. Elle possède de jolies chèvres naines, toutes gentilles, nous sommes allés les voir.

     

    Un p’tit coin de paradis en Haute-Saône.

    Un p’tit coin de paradis en Haute-Saône.

     

     

    Elles connaissent bien leur maîtresse et les friandises qu’elle leur apporte.

     

    Un p’tit coin de paradis en Haute-Saône.

     

    Au bout d’un moment, nous avons laissé les « biquettes » et avons pénétré dans un immense enclos. Regardez ! un des locataires nous observe de loin. C’est un des lamas de ce parc.

     

    Un p’tit coin de paradis en Haute-Saône.

     

    Attiré surtout par le seau à friandises, il vient tout près de nous. J’étais un peu sur la défensive. 

     

    Un p’tit coin de paradis en Haute-Saône.

     

    Je me souviens que dans un album de Tintin, le capitaine Haddock avait reçu un crachas de lama en plein visage. 

     

    Un p’tit coin de paradis en Haute-Saône.

     

    Florence nous a précisé que nous ne risquions rien, les lamas sont sociables et ne crachent que s’ils se sentent en danger principalement sur leurs congénères et très rarement sur les hommes. Je n’en avais jamais vu d’aussi près, c’est grand, environ 1m70 et ils pèsent entre 130 et 200 kgs. 

    Au bout de quelques minutes,  nous étions entourés de lamas, d’alpagas. Les alpagas sont plus petits, leur laine est très réputée. Je les ai caressés, ils ont une épaisse toison toute douce. Je les trouve de plus, très expressifs.

     

    Un p’tit coin de paradis en Haute-Saône.

    Un p’tit coin de paradis en Haute-Saône.

     

    Florence nous a expliqué que c’était des animaux très zen, doux. Ils servent aussi à entretenir le grand terrain, ils sont dans leur bois, l’entretiennent, ne mangent pas l’écorce des arbres contrairement aux chèvres.

    L’hiver ils restent dehors, ils ont un endroit pour se protéger de la pluie. Il faut dire qu’ils sont originaires des hauts plateaux des Andes. Ils sont habitués au froid, et aux grandes variations de température.  

    Allez une dernière récompense, une dernière caresse, les camélidés constatent que le seau est vide, alors ils retournent faire leur job dans la forêt, ou bien tout simplement se reposer.

     

    Un p’tit coin de paradis en Haute-Saône.

     

    Nous étions vraiment ravis Pierre et moi, de les avoir côtoyés de près, Merci Flo pour ton accueil. 

     

     

    Un p’tit coin de paradis en Haute-Saône.

     


    32 commentaires
  •  

     

    Les demoiselles du lac du Der.

     

     

     

    Fin octobre, nos vacances terminées nous revenions en Charente, et en regardant le paysage du camping-car tout près du lac du Der, je voyais loin dans les prés, une grosse masse grise qui bougeait mais je n’arrivais pas à discerner ce que s’était. Avec le zoom de l’APN, j’ai vu qu’il s’agissait de grues cendrées.

     

    Les demoiselles du lac du Der.

     

    Nous les connaissons bien, chaque année, elles traversent notre sud-ouest en début d’hiver puis de printemps. Nous regardons toujours avec intérêt, les différents vols toujours en forme de v. Elles sont très bruyantes, on ne peut les ignorer

    J’ai voulu savoir ce qu’il en était et moi qui croyais que c’était gros comme des oies, en fait, c’est tout à fait différent. Elles mesurent 1m30 environ et pèsent 5.5kgs.

     

    Les demoiselles du lac du Der.

     

    Le lac du Der, situé en Champagne-Ardennes est le principal site de stationnement pour ces oiseaux qui vivent en Suède, Finlande, Pologne, Allemagne. Chaque année entre 200 000 et 350 000 grues y transitent durant le mois d’octobre. Elles migrent sur environ 2 500 kms de distance et passent ainsi l’hiver en Afrique du Nord ou en Europe méridionale.

    Ce lieu est une étape attractive pour les grues. C’est un espace immense, il y a de nombreux ilots sur lesquels elles peuvent passer la nuit tranquille. Durant les périodes de migration, il y a peu de monde. Tout autour, il y a prairies, pâtures, chênes, et cultures de maïs où elles peuvent se restaurer.

    Pour terminer, je vous livre quelques informations relevées sur le web :

     

     

    Lors des migrations les grues empruntent toujours le même couloir de 200 kms de large, orienté sud-ouest qui les mène de l’Europe du Nord vers l’Espagne puis l’Afrique.

    Leur vitesse de vol est de 40 à 80 kms/heure, elles peuvent donc traverser notre pays en moins d’une journée.

    Elles volent à une altitude de 200 à 1500 mètres.

     

    Il faisait très beau en Charente cet après-midi, j’ai vu plusieurs vols, et nous quand nous les voyons évoluer dans ce sens, nous disons : les grues s’en vont, l’hiver arrive ! 

    A bientôt mesdemoiselles, revenez-vous vite avec le printemps !

     

     

    Les demoiselles du lac du Der.

     


    33 commentaires
  • Nous revenons bientôt !

     

     

     

     

    Nous sommes rentrés de vacances, avec plein de souvenirs,  nous avons fait de belles rencontres et découvertes, nous avons ramené quelques photos souvenirs que nous vous présenterons bientôt. Juste pour vous faire patienter, voici un joli étang de pêche  à Richelieu à 200 kms de Villebois-Lavalette.

     

    Nous revenons bientôt !

     

    Nous y avons fait une petite pause avant de retrouver notre domicile.

     

    Une dernière photo, et c’est parti pour la maison ! Nous sommes contents de partir mais tout aussi ravis de rentrer chez nous, nous en avons bien profité.

     

     

     

    Nous revenons bientôt !

     

     


    29 commentaires