Dimanche, nous étions en balade, et nous nous sommes arrêtés découvrir en détail, l’aménagement récent d’un rond-point de Brantôme. La ville a souhaité, je pense, montrer aux touristes découvrant la région, sa forte implication dans la tradition trufficole.

Tout d’abord on remarque la borie, cette cabane en pierres sèches du Périgord, sans liant. Ces bories ne possèdent pas de charpente mais une voûte en encorbellement, régulière à l’extérieur. Autrefois, elles servaient de poulaillers, d’abris pour bergers ou chasseurs.

Second élément : une affiche avec un caveur et son cochon ! Précieux auxiliaire d’antan des trufficulteurs, supplanté maintenant par le chien. Contrairement au chien, il n’a pas besoin de dressage particulier pour trouver le précieux tubercule. Il le sent de loin car il en raffole ! Il faut juste l’empêcher de le dévorer ! Et il est moins facile à transporter que nos toutous !!!

Il semblerait que c’est en Italie qu’on a commencé à caver avec des porcs. Au 15^ème siècle, un auteur italien dit que rien n’égale l’instinct des truies pour débusquer les truffes sous la terre.

Figure aussi, une truffe bien ronde et régulière, comme on aime en déterrer. On distingue bien l’entourage appelé péridium, d’aspect verruqueux qui renferme la gléba.

Une truffe coupée en deux a été également posée sur ce rond-point pour expliquer son intérieur. La gléba est constituée de veines stériles blanches qui nourrissent le tubercule et lui permettent de respirer. On voit aussi des veines fertiles noires, les spores.

Intéressant bon d’accord !!! Mais plus captivant encore, pour la chocolat’team : faire une balade à pied dans le coin !! Ça s’impose !!!

Cette semaine, nous avons vécu beaucoup avec de la pluie, et du vent, donc l’article que nous avons rédigé ce soir est consacré à l’eau.

Nous sommes à St Amant de Graves, dans le pays du Cognac, le long de la Charente.

Nous n’avons pas envie de sortir de la voiture, la pluie tombe drue ! De l’autre côté du fleuve, on voit des vignes à perte de vue.

Au moins, les cygnes eux, semblent contents, ils se baladent paisiblement sur l'eau.

En tournant dans les rues du village nous avons aperçu ces 3 jolis puits.

Un peu en dehors du bourg, se trouve ce lavoir, pas trop entretenu !

Rien à faire, le temps passe, il pleut toujours autant, mais peu importe, la meute derrière s’impatiente, faut aller se promener, alors nous nous équipons de nos vêtements imperméables et c’est parti pour une vingtaine de minutes ! Les averses, le vent, ne les perturbent pas nos miss !!!

Tout d’abord avant de commencer cet article, Pierre et moi vous souhaitons à tous une heureuse année 2016 et surtout une très bonne santé.

Dur, dur, ces fêtes pour le foie ! Aussi en ce jour de l’An, nous sommes partis faire une balade pour éliminer un peu ! Le temps était mitigé : parfois de beaux moments de ciel bleu, et tout d’un coup, le temps s’assombrissait mais nous n’avons pas eu de pluie.

Nous voilà arrivés, sur un lieu que nous affectionnons tout particulièrement, les sentiers du plateau d’Argentine, qui partent tous de cet aérodrome de plaisance. Aujourd’hui, il n’y avait pas un seul avion sur la piste. 

Cadix regarde tranquille la Pestouille qui n’a qu’une idée en tête : jouer à la balle !

Elle sait bien H’Alhambra que son maître en emmène toujours une avec lui !! Elle va vite le voir ! Et ça marche !

Contrairement à Cadou très indépendante, HA ne s’éloigne jamais beaucoup de Pierre. Elle est toujours près de lui quand il marche, s’il s’arrête elle stoppe également, toujours le regard vers lui : c’est une belle complicité qui les unit.

Et toi ma Cadix, tu suis ou tu vas de l’avant ! Pas trop de mulots à chasser aujourd’hui ! Allez on rentre c’est l’heure de votre repas !

Nous partons aujourd’hui découvrir l’archipel de Bréhat. Nous avons fait cette croisière fin septembre sous un temps très agréable.

 La petite famille est embarquée, tout le monde est tranquille. Cette formule commentée de 45 minutes nous a fait découvrir une partie de cette côte de granite rose.

Nous passons tout à côté de la chapelle St Michel perchée tout en haut de la d’une colline. C’est le point culminant de l’île.

Et voici Eulalie ! Ce bateau propose aux passionnés de naviguer à l’ancienne dans l’archipel.

Nous arrivons au phare de Paon, Ce dernier a été reconstruit en 1952, à l’identique, car en 1944 il avait été dynamité par l’armée allemande.

Il y avait peu de monde sur le bateau, nous étions Pierre et moi pris par ce magnifique paysage, et en fait nous ne surveillions pas trop nos filles. Cadix avait remarqué ce vieux monsieur, tout seul. Elle a oublié qu’elle était en vacances, et est allée spontanément faire ses amitiés à ce voyageur qui était ravi.

 Nous sommes sortis de la cabine à l’arrivée au port de l’île.  La traversée et la balade se sont faites avec une mer d’huile, tout le monde a bien supporté.

 Mais nous ne pourrons faire qu’une courte rando sur l’ile, juste le temps de voir une ou deux rues car il est tard, et nous ne devons pas rater le dernier bateau ! Nous n’avons pas prévu de passer la nuit à Bréhat.

La chocolat’team nous propose aujourd’hui une balade en plein cœur de la Bretagne, pour contempler les géants de granit de la « vallée des saints ». C’est à côté de Carhaix que se trouve cette cinquantaine de statues-menhirs d’au moins trois mètres de haut.

Le temps n’était pas très beau, ce jour-là, Nous avons déambulé avec d’autres touristes parmi tous ces colosses, nous nous serions presque crus à l’île Pâques. Pesant chacune plusieurs tonnes, ces géants représentent des saints bretons.

Nous avons eu la chance de pouvoir observer de loin,  les sculpteurs en action. Un périmètre de sécurité doit être respecté pour éviter toute projection d’éclats. C’est vraiment un boulot de forçat, de travailler de si grosses pièces ainsi, dans des conditions climatiques parfois difficiles, avec la poussière, cumulée au bruit des meuleuses.

Bravo à vous tous, vous contribuez à faire revivre la culture bretonne !